gtuo7kv8
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Posted: Sun 4:59, 22 Sep 2013 Post subject: louboutin pas cher Nicolas Sarkozy, à contretemp |
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A défaut de être efficace, Nicolas Sarkozy espérait au moins appara?tre "protecteur". "Qu'attendent de moi les Fran?ais ? Que je les protège de la crise", assurait-il, il y a bient?t deux ans, à la veille des élections régionales du printemps 2010.
Le bilan de ses bient?t cinq années de mandat a effacé cette ambition et renvoyé M. Sarkozy à ses "résultats", comme il y invitait le pays en 2007. Le ch?mage serait réduit de moitié, promettait-il. Il progresse inexorablement depuis des mois et approche désormais le seuil de 10 % de la active. La croissance, que le candidat [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] Sarkozy s'engageait à chercher "avec les dents" ? C'est aujourd'hui la récession qui menace. Quant à la dette de l'Etat, dont les fiscaux du début de mandat ne se souciaient guère, à l'époque, elle [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] a explosé [url=http://rtmlwise.com/blog/miscellaneous/how-to-add-a-favicon-icon-to-your-yahoo-store/]5 Mistakes You May Be Making That Prevent Web Visitors From Turning Into Web Leads[/url] et atteint 1 [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] 700 milliards d'euros.
Les statistiques sont connues. Et cruelles. Sa popularité ? Elle s'est effondrée, voilà maintenant quatre ans, au début de 2008, et reste plombée autour de 30 % [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] de bonnes opinions, contre le double ou davantage de mauvaises. Aucun président sortant, avant lui, n'avait brigué un second mandat dans une telle situation de faiblesse, de discrédit même.
Les intentions de vote en sa faveur ? Selon les instituts de sondage, il piétine entre 22 % et 25 % au premier tour, distancé par le candidat socialiste et talonné par la candidate du . Quant au second tour, on lui promet une Berezina.
Le défi auquel est confronté est donc clair : comment une élection à ce point présumée perdue ? Longtemps, le chef de l'Etat a voulu que les Fran?ais finiraient par reconna?tre en lui un président volontaire et efficace, capable en toute situation de [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] "prendre le taureau par les cornes", comme il l'a dit dimanche.
Le pari para?t plus que téméraire. Comment, en effet, les Fran?ais ne lui objecteraient-ils pas qu'il est bien tard pour de son chapeau ces nouvelles réformes, alors que la crise sévit depuis trois ans ? Elle s'est aggravée depuis six mois, certes. Mais la désindustrialisation mine le pays depuis dix ans, comme Nicolas Sarkozy lui-même l'a souligné.
Depuis, il s'est [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/]hollister pas cher[/url] employé à ce r?le. Sans rel?che. Mais sans . En l'espace de deux semaines, l'agence de notation Standard & Poor's et les salariées de Lejaby ont achevé de ce qui pouvait de cette illusion. La première en abaissant la note triple A de la France, censée nous protéger des marchés et nous dans la première division des bons élèves européens. Les secondes en criant leur colère à l'annonce de la fermeture de leur usine d'Yssingeaux, comme la mort annoncée d'une marque emblématique de lingerie produite en France.
De même, le président de la République n'est pas un artiste de la , mais un combattant. Il l'a à nouveau démontré, lors de son intervention télévisée, dimanche 29 janvier au soir. Aff?té, il a défendu son bilan pied à pied, a annoncé une rafale de nouvelles réformes comme au premier jour de son élection et s'est affiché plus "déterminé" que jamais à contre la crise et à son "devoir" de président.
La crise - financière, économique, monétaire européenne - est [url=http://www.27ic.com/wygkcn_GuestBook.asp]hollister[/url] passée par là. C'est une évidence, et les Fran?ais ne l'ignorent pas. Mais, à leurs yeux, elle ne constitue pas une excuse. Bien au contraire, elle signe et souligne une impuissance. Le verdict est injuste ? En partie, oui. Comme il pouvait para?tre injuste à l'égard des gouvernants britanniques, irlandais, espagnols, italiens, portugais ou [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] grecs qui ont tous été désavoués et remerciés depuis dix-huit mois.
chez . Le champion espagnol n'est pas un génie du , mais un infatigable lutteur prêt à se sur tous les points, persuadé qu'aucune situation n'est jamais définitivement compromise, guettant la moindre faiblesse de l'adversaire. S'il perd, comme ce à Melbourne, ce n'est pas d' baissé les bras, mais contre plus fort que lui.
Enfin, Nicolas Sarkozy para?t victime d'un étrange contretemps : pendant deux ou trois ans, il s'est comporté en éternel candidat, quand les Fran?ais attendaient [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] de lui qu'il soit pleinement président. Aujourd'hui, il fait mine de être président jusqu'au dernier moment, quand il lui faudrait être candidat pour la confrontation attendue. On doute que quiconque soit encore dupe de [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler[/url] ces de r?le.
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Pis, selon la dernière en [url=http://laotian.dongkou.gov.cn/E_GuestBook.asp]hollister[/url] date (réalisée par l'IFOP pour Le Journal du dimanche du 29 janvier), les Fran?ais font davantage confiance à son adversaire socialiste - et parfois de manière écrasante - pour les publics, améliorer le d'achat, rénover l'éducation, contre le [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] ch?mage, ma?triser les , réduire la dette publique. Seule la lutte contre la délinquance lui vaut encore la confiance d'une majorité (relative) de Fran?ais.
Reste le président courageux. C'est le visage que le chef de [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] l'Etat a voulu dimanche soir. Prêt à des réformes impopulaires à trois mois de la fin de son mandat et à ce qui lui reste de crédit sur l'autel de la compétitivité des fran?aises et de l'intérêt national.
En outre, le chef de l'Etat paye, aujourd'hui, les travers et les excès de la première moitié de son mandat. Il a, alors, tant parlé, tant discouru, tant promis, tant occupé l'espace matin, midi et soir qu'il a provoqué comme un effet de saturation : quand les Fran?ais l'écoutent, désormais, il semble bien qu'ils ne l'entendent plus. Et quand ils l'entendent, ils ne le croient plus.
De même, quel crédit à un président qui prétend , en quelques semaines à peine, des lois aussi complexes qu'une nouvelle réglementation sur les plans d'occupation des sols ou sur l'embauche de jeunes en alternance dans les grandes entreprises ? Ou "dans les deux mois" une [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] négociation entre partenaires sociaux sur l'instauration d'accords compétitivité- ? Ce n'est tout simplement pas sérieux.
Dieu sait, pourtant, que le match qu'il dispute est mal engagé. Pour la plupart des augures, il para?t même perdu d'avance, tant l'adversité est grande, ses concurrents coriaces et ses handicaps apparemment insurmontables.
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