Guardians of Grail

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Lorsqu’à l’automne 2008, elle a appris qu’elle faisait partie des prioritaires pour [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] un logement, au titre de la loi DALO, Virginia Bodart a légitimement pensé que tout allait s’arranger. Fini le temps où elle dormait dans la voiture...
Les mois ont passé et aucun appartement [url=http://www.geol.sci.hiroshima-u.ac.jp/~environ/cgi-bin/lightlight.cgi?res=207222]barbour online shop 81,7% de [/url] n’a été proposé à cette mère de six enfants dont cinq sont encore avec elle.
Aidée par son avocat Me Frédéric Carrez, Virginia s’est adressée [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] au tribunal administratif qui le 4 février dernier a enjoint la préfecture [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] de trouver un appartement de type T5 à la famille, dans un délai de dix jours, et sous astreinte de 465 € par mois. Une somme d’argent qui, lorsqu’elle est exigée, est versée au fonds d’aménagement urbain qui doit ?uvrer à la construction de logements sociaux..
Cette injonction du tribunal n’a eu aucun effet. L’avocat veut à nouveau s’adresser à la justice en demandant cette fois-ci des dommages et intérêts au profit de la famille.
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Une impasse

Mais en attendant, Virginia s’enfonce dans une situation kafka?enne dans laquelle elle s’est retrouvée [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti soldes[/url] faute [url=http://dbu.dip.jp/cgi-bin/joyful/joyful.cgi?gt;Zero=]woolrich Someone Will Ask His[/url] d’avoir été logée décemment.
Cette mère de famille, qui travaille comme caissière à temps partiel, s’est installée dans l’appartement d’une amie, dans un immeuble de la route de Grenoble géré par C?te d’Azur Habitat. Elle pensait pouvoir récupérer légalement la location. En fait, elle n’a récupéré que des ennuis, succédant à une locataire « mauvais payeur », qui plus est en bute avec son voisinage. ? cela se sont [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] ajoutés des soucis avec sa fille a?née, et une ambiance pour le moins agitée dans l’appatement.
« Je me suis expliquée avec les locataires. Les choses se sont calmées », affirme Virginia. Mais la situation reste invivable. Du fait de son statut de « squatteuse », le compteur d’eau a été enlevé en septembre 2009.
« J’ai demandé au préfet de surseoir au concours de la force publique pour l’expulsion, ce qui était tout de même logique. Mais maintenant ma cliente n’est ni [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] expulsable, ni régularisable dans l’appartement qu’elle occupe »...
Virginia doit en outre chaque mois au bailleur social une indemnité d’occupation. Actuellement, on lui prélève 150 €.
Situation « limite »
« Le cas de Mme Bodart est édifiant », commente l’avocat. « C’est l’illustration de l’échec de la loi DALO, malgré les belles intentions. On nous répond toujours qu’il n’y a pas de logement disponible malgré [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] les recherches, etc. L’?tat pourrait réquisitionner, imposer ses candidatures aux bailleurs sociaux... Là on bute et rien ne change pour les familles prioritaires ».
Virginia vit aujourd’hui en [url=http://www.fntx.net/E_GuestBook.asp]hollister[/url] achetant des packs d’eau, en [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] portant le linge au Lavomatic, en demandant à des voisins de pouvoir remplir des bidons. « Rester propre, arriver à faire le ménage, c’est l’essentiel. Mais je dépense [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] parfois plus de [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] 200 e par mois [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] pour des packs d’eau ».