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"BOZIZ? DOIT , C'EST CLAIR"
Lundi, le Séléka continuait toutefois de se prêt à à l'assaut. "Bozizé doit [url=http://gaj.ybja.gov.cn/E_GuestBook.asp]hollister[/url] , c'est clair, on réclame son départ, qu'il quitte le pouvoir", déclarait à l'AFP l'un des porte-parole de la coalition rebelle du Séléka, Eric Massi, qui se disait prêt à "sécuriser Damara" avant de sur Bangui.
Le Monde.fr a le plaisir [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] de vous la lecture [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour[/url] de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en
Il n'est pas s?r que les rebelles puissent beaucoup plus loin. [url=http://www.osterblade.com]moncler outlet[/url] Le président tchadien, Idriss Déby le leur a signifié, lundi 31 décembre 2012, en haussant le ton. "La Communauté économique des Etats d' centrale [CEEAC] a décidé de [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] la cessation des hostilités. A cet effet, la ville de Damara constitue la ligne rouge à ne sous nul prétexte", écrit le chef de l'Etat tchadien dans un communiqué. Damara, c'est le dernier verrou militaire avant Bangui, distant de 75 km. C'est une ville où s'est regroupée une partie de l'armée centrafricaine, renforcée par des troupes de la Micopax (Mission de consolidation de la paix en ) déployée par la CEEAC depuis 2008, au lendemain d'une autre de ces rébellions récurrentes dans le pays.
Ces propositions, qui ressemblent à une capitulation ou à une manoeuvre dilatoire, ont re?u un certain écho au sein du Séléka. "Cette coalition regroupe au moins trois anciens groupes de rebelles, le CPJP, l'UFDR et le CPSK, qui se sont autrefois combattus", rappelle , auteur d'un livre relatant ses années passées comme ambassadeur de France en Centrafrique. "Actuellement, il y a des divisions au sein du Séléka. Certains veulent le combat, mais le CPSK est prêt à déposer ses armes et à discuter", a confirmé à l'agence Ndjadder, un responsable du CPSK établi en France. Finalement, la bataille de Bangui n'aura peut-être pas lieu.
Les forces prêtes à défendre "la ligne rouge" ont aujourd'hui atteint une taille critique pour le Séléka. Il y a quelques jours, le , véritable parrain de Bangui, avait déjà envoyé des renforts en Centrafrique. Leur nombre est inconnu, mais [url=http://www.ktbruce.co.uk/mulberrysale.php]mulberry sale[/url] la réputation combattante des soldats [url=http://www.agentparadise.com]woolrich outlet[/url] tchadiens n'est [url=http://web.xrh.unipi.gr/index.php?option=com_blog&view=blog&lang=el]abercrombie Daniel Cohn-Bendit invite Rama Yade, l[/url] plus à . Lundi, 150 soldats congolais sont arrivés de Brazzaville. Quelque 120 Gabonais et autant de Camerounais étaient attendus mardi à Bangui. Ce qui portera à près de 800 le nombre de soldats de la Micopax déployés [url=http://www.ktbruce.co.uk/hollisteroutlet.php]hollister[/url] en Centrafrique, auxquels s'ajoute le contingent fran?ais basé à Bangui, porté de 250 éléments à 600 au cours des derniers jours.
Leur mission, a rappelé , n'est pas de le régime chancelant de Fran?ois Bozizé, il est de protéger les ressortissants fran?ais vivant en Centrafrique. Mais il [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] constitue une réelle force de dissuasion contre la rébellion si celle-ci, forte de 1 000 à 2 000 hommes selon certaines estimations, [url=http://www.fibmilano.it]woolrich[/url] décidait de la bataille de [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] Bangui pour déloger le président.
de Bangui et le régime de Fran?ois Bozizé, comme ils le prétendent à coups de communiqués, il faudra qu'ils livrent une autre bataille que celle de la [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] communication. Depuis le début de leur offensive éclair, le 10 décembre 2012, il n'a fallu que quelques jours à cette coalition hétéroclite pour le pays du nord au sud sans beaucoup de résistance de la part d'une centrafricaine en débandade. Presqu'une promenade [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] de santé de plus de 300 kilomètres, qui a mené ces combattants que l'on dit bien és et disciplinés jusqu'à la ville de Sibut, à 160 kilomètres au nord de Bangui.
Le chef de l'Etat, lui-même arrivé au en 2003 à la tête d'un mouvement armé, va d'ailleurs de reculade en reculade. Après accusé le Séléka d'être une fabrication étrangère, il a fini par son caractère centrafricain, jusqu'à des négociations immédiates et sans condition, puis de l' dans un gouvernement d'union nationale.
Ce ne serait pas nécessairement un mauvais calcul. La coalition a déjà atteint l'un de ses objectifs : au monde la faiblesse du régime de Fran?ois Bozizé, régime clanique et corrompu auquel le Séléka reproche notamment d'être revenu sur l'accord global de paix signé en 2008 à Libreville, qui prévoyait une indemnisation pour les anciens rebelles qui décidaient de déposer leurs armes.
Intoxication ? Il est difficile de si le Séléka dispose de la force de frappe nécessaire pour Damara puis la capitale. A que ce soit le cas, la rébellion est aujourd'hui soumise [url=http://www.izumito.com/Cgi-bin/takashima/bbs/joyful/joyful.cgi]hollister sale John, vendeur [/url] à une pression diplomatique croissante qui pourrait bien l' à s' à la table des négociations, comme le lui demandent expressément la CEEAC, la France – l'ancienne puissance coloniale – et les Etats-Unis.