Guardians of Grail

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Est-ce que ces facteurs vont se , annon?ant la poursuite de ce décollage dont on désespérait depuis les indépendances ? Oui, répondent [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] les auteurs, car le sous-sol africain "regorge de richesses" dont ont besoin les pays émergents. Et oui, parce qu'en 2008, "quelque 85 millions de ménages y ont gagné au moins 5 000 dollars, seuil au-delà duquel ils commencent à plus de la moitié de leurs revenus à d'autres dépenses que la nourriture".
Malgré ses relents de guerre et de corruption, l'Afrique semble enfin [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] bien partie.
Par exemple, "s'ils ne font pas de bêtises, écrit-il, le et ses 180 millions d'habitants pourraient plus lourd que [url=http://www.ttcarpets.co.uk]mulberry outlet[/url] le [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister uk[/url] , l' ou la en 2050". Aujourd'hui même, le continent africain tout entier est au niveau du Brésil classé neuvième économie du monde.
Les investisseurs étrangers ne s'y sont pas trompés. [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] Leurs apports annuels en capitaux sont passés de 9 milliards de dollars (7 milliards d'euros) en 2000 à 62 milliards de dollars en 2008, "presque aussi élevés qu'en Chine".
Les rares investisseurs européens qui [url=http://www.corsodiesperanto.it/woolrich.php]woolrich outlet[/url] ont mis le cap sur l'Afrique s'en félicitent. "C'est là où on obtient le meilleur retour, note Guillaume Chaloin, gérant d'un fonds géographiquement spécialisé créé en juillet chez Management. Nous n'achetons que des actions auditées parmi les 1 500 valeurs cotées sur le continent. Certes, il faut y prudemment, notamment en Afrique [url=http://www13.plala.or.jp/gakuki3/cgi_bin/aska/aska.cgi]louboutin Apartments To Rent [/url] subsaharienne où les perspectives sont les meilleures. Mais ce n'est pas le que certains croient !"
Une autre raison à ce palmarès tient "aux évolutions sociales et démographiques, en particulier l'élargissement du marché du travail, l'urbanisation et l'émergence concomitante des classes moyennes". En 1980, 28 % des Africains vivaient en ville. En 2030, la proportion passera à 50 %. "Cette transition n'est pas une garantie de croissance, souligne M. Tazi-Riffi, mais un vivier de croissance."
Dans un article publié dans le du 28 ao?t, Jim O'Neill, chef économiste chez et inventeur de l'acronyme "Brics" pour désigner les champions émergents (, , , ), n'est pas loin de que ceux-ci seront rejoints dans les quarante prochaines années par quelques-uns des grands pays africains.
Et puis, il y a la distribution que l'urbanisation développe de fa?on non moins stupéfiante. "Au Nigeria, explique M. Chaloin, dans l'agglomération de Lagos - 40 millions d'habitants -, les supermarchés Shoprite n'ont aucun concurrent et ont en projet une vingtaine de magasins. Ils annoncent une marge de 35 % par an : c'est si l'on trouve de gros potentiels. Les Chinois et les Brésiliens les ont [url=http://www.wiis.fr]louboutin pas cher[/url] détectés avant nous, Européens, qui vivons sur des a priori dépassés."
Quels secteurs semblent promis à un bel ? Les biens et de (au premier rang, [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister france[/url] les télécommunications), les , les infrastructures (routes, électricité, eau) et l'agriculture qui recèle un potentiel "énorme", [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] puisque McKinsey estime que son chiffre d'affaires pourrait de 280 milliards de dollars à [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] 880 [url=http://lamkamtong.com/cgi-bin/honey.bak/honey.cgi]doudoune moncler First Time Y[/url] milliards en 2030. Rappelons que 60 % des terres arables non cultivées dans le monde sont [url=http://www.corsodiesperanto.it/hoganit.html]hogan outlet[/url] africaines. La "révolution verte" est à .
Tous les pays ne conna?tront pas le même succès, tant leurs situations politiques, économiques et démographiques diffèrent. Plus diversifiées, les économies égyptienne ou marocaine s'en tireront mieux que l'éthiopienne et la malienne, pourtant elles aussi en croissance rapide, mais politiquement fragiles.
En effet, les gouvernements africains ont su un assainissement douloureux dans les années 1990 pour réduire leurs déficits et leurs publiques. Ils sont aussi parvenus à réduire le nombre et l'intensité des conflits és. La productivité du travail, qui déclinait depuis 1980, s'est remise à cro?tre à de 2000 au rythme de 2,7 % l'an.
Les richesses du sous-sol
Une étude présentée mardi 14 septembre à Paris par Institute énumère les causes de cet éveil. La première est ce qu'on peut avec , l'un des auteurs, "le retour des Etats".
Il privilégie deux secteurs. "Les télécoms sans conteste, parce qu'ils vivent une formidable révolution : leur taux de pénétration qui est de 37 % aujourd'hui devrait sans difficulté [url=http://various2004.com/cgi-bin/yybbs/yybbs.cgi?%22]peuterey sito ufficiale How t[/url] à 80 %."
Deuxième raison, l'explosion de la demande pour les qui a apporté les dont manque cruellement l'Afrique. Mais les auteurs de l'étude notent que les pays sans richesses naturelles progressaient "de fa?on comparable" aux autres.
un coup de vieux, car les cabinets [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] de conseil et d'études, tout comme les investisseurs - et pas seulement asiatiques ou brésiliens -, découvrent, les uns après les autres, que l' est devenue un continent d'opportunités promis à un développement rapide. Les statistiques du Fonds monétaire (FMI) disent que de 2000 à 2009 son taux de croissance annuel a atteint, en moyenne, 5,1 %, malgré une année 2009 médiocre (+2,5 %).