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Bagdad (Irak)
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Quand lundi matin, après moins de deux heures de combat, les Américains se sont rendus ma?tres du palais présidentiel, sur la rive ouest du Tigre, chacun savait que la chute de Bagdad n'était plus qu'une question d'un ou deux jours. Et ce en dépit des dénégations du ministre irakien de l'Information, Mohamed Saaf, affirmant le jour même, lors d'un point de presse à l'h?tel Palestine, lieu où réside la plupart des journalistes présents à Bagdad, que les Américains subiront des pertes sévères.
Sur le terrain, la situation évoluait très vite. À l'est de la capitale, les frappes aériennes, appuyant l'avancée de [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] l'armada américaine, se concentraient sur Daoura, où se trouve le camp militaire d'El Rachid et plusieurs résidences de Saddam. À l'ouest, les chars Abrams tentaient [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] de franchir le pont El Djoumhouria, sur le Tigre. Enfin, ministères clés - Intérieur, Défense, Information - b?timent de la radio-télévision, pourtant bombardés les jours précédents, subissaient un [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] déluge de feu. Missiles de croisière, F-I8, A-10 frappaient tour à tour ces lieux de pouvoir.
Sur terre, sur fond de tirs nourris de mitrailleuses et de toutes sortes [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] d'armes automatiques, les blindés américains pilonnaient la Garde républicaine qui tentait vainement de contenir leur avancée. Chacun de leur passage était suivi de déflagrations en rafale, soulevant d'immenses nuages de poussière. Les tirs de la DCA irakienne se faisaient de moins en moins entendre. Et mardi après-midi, les avions de guerre américains pouvaient frapper leurs cibles sans aucun risque majeur : la défense antiaérienne était totalement anéantie. Cette guerre ressemblait vraiment au combat du pot de terre contre le pot de fer. Par dizaines, voire par centaines, les soldats irakiens et les feddayin tombaient comme des mouches. Les positions tenues par les Irakiens tombaient une à [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] une.
Dans ce contexte d'affrontements violents, Mohamed Saaf, ministre irakien de l'Information, ne savait [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] sans doute pas qu'il allait tenir son dernier point de presse à l'h?tel Palestine. Mardi, l'indémontable porte-parole du régime de Saddam affirmait mordicus que Bagdad ne tomberait pas.
En fait, mardi après-midi, tout semblait fini, quant les F-18 et les A-10 ont laissé la place aux hélicoptères Apache pour terminer le travail, notamment à Douara. [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] Durant près de deux heures, ce quartier de la capitale est bombardé sans rel?che à coups de roquette. Sur le pont d'El Djoumhouria, les feddayin, armés de RPG (lance-roquettes) étaient les derniers à tenter désespérément d'empêcher les Abrams de le franchir. Les journalistes ne sont pas épargnés : un journaliste de la cha?ne arabe Al Djazira, qui commentait en direct les images diffusées [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] par sa cha?ne, est tué. Toujours à partir de ce pont, un char Abrams tournait sa tourelle et pointait son canon en direction de l'h?tel Palestine, situé de l'autre c?té du Tigre, ouvrait le feu, tuant deux journalistes et blessant deux autres.
Dans la soirée de mardi, Bagdad est plongé dans un noir total. Les [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] incendies provoquées par les frappes aériennes et les bombardements à l'arme lourde illuminaient en certains endroits le ciel de la capitale. Au loin, le bruit des détonations d'armes lourdes et légères laissait penser que les combats se poursuivaient. Saddam City, ce [url=http://www.americatownmovie.com]jordan pas cher[/url] quartier pauvre chiite de 2 [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] millions d'habitants, à l'est de Bagdad, est sous contr?le américain dès mardi soir.
Mercredi en milieu d'après-midi, dans une ville qui semblait désertée par ses habitants, les marines entrent dans le centre-ville. Cette fois-ci, Bagdad est bien tombé. Et personne ne sait où se trouve Saddam Hussein.

Hassane Zerrouky

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