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Une autre question majeure, celle des Touareg, reste ouverte. Paris a d'abord déclaré s' sur les Touareg la?ques du Mouvement national de [url=http://www.ilyav.com/uggsoldes.php]ugg pas cher[/url] libération de l'Azawad (MNLA), jugés responsables par Bamako de la scission du pays en avril 2012. Aujourd'hui, la prudence est de mise : "Nous ne sommes pas les médiateurs des [url=http://prepfunda.com/forum/newtopic]hollister outlet sale Interesting Things Which One Can Do In New Jersey[/url] communautés maliennes." Le président malien intérimaire, é, vient de [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler[/url] décider la création d'une commission nationale de dialogue. En attendant, le constat sur le terrain est celui d'un accroissement des tensions intercommunautaires.
La formation de l'armée malienne par la mission européenne EUTM commencera début avril. Son objectif : la ligne Léré-Tombouctou-Gao d'ici un an. Elle a retrouvé un élan gr?ce à "Serval". "Un seul soldat "Serval" à leur c?té, cela décuple [url=http://www.mquin.com/gzparis.php]giuseppe zanotti[/url] leur volonté de combattre", a confié le colonel major Dako. "Les officiers se rendent compte qu'ils sont passés au bord du gouffre et qu'il faut changer", note le colonel Bernard Héluin, de l'armée malienne. Le capitaine putschiste Sanogo a limogé 62 généraux et placé [url=http://www.achbanker.com/hollister.php]hollister[/url] ses hommes. Tout est à . "Ce n'est pas une armée, c'est une brocante", résume le colonel Héluin. Le colonel Dako explique [url=http://www.ilyav.com/uggsoldes.php]boots ugg pas cher[/url] qu'il n'a pas assez d'hommes [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan pas cher[/url] pour des relèves semestrielles. Pas de véhicules pour ses soldats envoyés à Gao et Tombouctou. [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] Encore moins pour "aller jusqu'à Kidal".
L'opération des Ifoghas est sans conteste "un succès". "Le chef d'état-major malien, le général Dembele, m'a dit que nous avions fait 70 % du chemin", a-t-il précisé.
, où les légionnaires du 2e régiment étranger parachutiste traquent jusque dans les grottes de leur sanctuaire, depuis le 25 février, les djihadistes d' au Maghreb islamique (). Dans la [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] vallée d'Ametteta?, qualifiée de "donjon des terroristes" par les militaires, Fran?ais et Tchadiens ont progressé début mars, au prix de combats acharnés, tuant des ennemis par dizaines et délogeant par tonnes du matériel de guerre.
"CE N'EST PAS UNE ARM?E, C'EST UNE [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] BROCANTE"
Ensuite, quand l' [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbourparis.php]barbour[/url] fran?aise se tourne vers ceux qui doivent la , elle continue de se seule. Les premières forces africaines de la Misma, pilotée par la Communauté économique des Etats d' de l'Ouest (Cedeao), sont arrivées très vite après le déclenchement de "Serval", le 11 janvier. Mais ces forces (4 000 hommes) sont restées nues. "Les Nigériens sont 1 000 pour 15 véhicules", précise ainsi un .
DES HOMMES APPARUS DROGU?S, LEURS ARMES LOURDES ? LA MAIN
Se pose, d'abord, le problème de Gao, la ville du nord-est qui était sous l'emprise du Mujao. Dans le dernier accrochage du milieu de semaine, les forces fran?aises ont tué 52 djihadistes d'un coup, des hommes apparus drogués, leurs armes lourdes à la main. Dans les environs de Gao, l'intervention "Serval" a dérangé le trafic régional de la drogue. Par ailleurs, les combattants des groupes terroristes sont ici des Maliens. Il est plus difficile, reconna?t-on dans l'entourage du ministre de la défense, de de front une partie de la du fleuve [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs/epad.cgi?mode=view&no=1106297&res=1&page=450]moncler outlet Lisoloir, obje[/url] , que d' décimer des étrangers dans un lointain bastion de pierres inhospitalières.
Les promesses des donateurs – 450 millions de dollars (350 millions d'euros) – ne sont pas encore honorées. Les Etats-Unis ont mis à disposition une importante enveloppe, 100 millions de dollars, qu'ils paieront jusqu'en septembre. Mais la Misma manque de tout : chaussures, rations, pick-up, armes. A Bamako, son PC opération flotte dans une grande salle. Une quinzaine d'officiers travaillent derrière une poignée d'ordinateurs portables. L'état-major conduit par le général nigérian Adbulkhadir est censé 60 personnels.
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Les conditions du désert sont impressionnantes, chaleur de four et vent de sable, la logistique limitée au minimum vital. Le ministre fran?ais de la , Jean-Yves Le Drian, qui s'est rendu à la lisière d'Ametteta?, jeudi 7 mars, a rendu un hommage appuyé aux unités.
Mais pour la suite, c'est un vide inquiétant qui se présente. Les forces ées censées le relais des Fran?ais sont loin d'être prêtes. La situation au Mali reste toujours aussi incertaine. Le retrait fran?ais, d'abord annoncé pour mars, sera "progressif, pragmatique, dans l'appréciation de la situation, a corrigé M. Le Drian. Il faudra jusqu'au bout, permettre au Mali de sa souveraineté sur l'ensemble de son territoire".
Enfin, la situation politique du pays reste problématique, malgré l'annonce d'une élection présidentielle en juillet. L'Etat est failli. Paris a insisté, par la voix de M. Le Drian, pour que Bamako accélère l'installation de ses fonctionnaires dans les villes libérées. Il faut "des actes", affirme-t-on dans l'entourage du ministre. A Gao et Tombouctou, c'est le Comité de la Croix-Rouge qui apporte l'essence, l'eau, l'électricité. "Les populations locales ne doivent pas moins bien après l'intervention fran?aise qu'avant", traduit un expert de la défense.
"Personne ne s'engage car tout le monde attend que la Misma se transforme en mission de l'ONU au Mali , ce qui permettra de l'affaire", décode un fran?ais. Mais la résolution de l'ONU poussée par la France à New York n'est pas [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel pas cher[/url] prête. Paris, de surcro?t, ne se voit pas sous forme d'une force de réaction rapide de l'ONU dans le pays, mais plut?t comme "un soutien de deuxième rideau si la situation dégénère", depuis un point d'appui régional.
La deuxième phase de l'opération "Serval" est en passe de s' : celle qui a visé, après la prise des grandes villes du nord du pays occupées par les djihadistes depuis un an, à "éradiquer" AQMI, comme l'a demandé le président de la République. Les militaires s'attendent à deux ou trois semaines supplémentaires de combats. Après, la température [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] insupportable de [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/4pcs-LED-Tyre-Tire-Valve-Caps-Neon-Lights-Bike-Car-New-/220639832483]moncler outlet A Alger, les E[/url] cette région désertique, ajoutée aux pluies, entravera l'action.