Guardians of Grail

gtuo7kv8

Les grandes enseignes valorisent la proximité et partent à la conquête de nouveaux consommateurs avec un [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] argument de poids : l'accessibilité.
MARCH? DE NICHE
Le Monde.fr a le plaisir de vous la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en
Les produits biologiques ont représenté en 2010 un chiffre d'affaires de 3,3 milliards d'euros dans l'alimentation, en hausse de 10 % sur un an. [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] Les [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] produits cosmétiques bio ont généré 270 millions de chiffre d'affaires en 2009 (dernières données disponibles).
Ces marchés sont tirés par le r?le croissant de la grande distribution, qui draine 46 % des ventes de produits bio. [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] "L'offre a créé [url=http://park1.wakwak.com/~flyfisher/cgi-bin/zz7/joyful.cgi]moncler sito ufficiale EDF de[/url] sa propre demande", analyse , directrice de recherche au CNRS et auteur de La Consommation engagée [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] (Presses de Po, 2009). Les grandes enseignes ont vu dans la du bio une opportunité économique et ont multiplié les [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler pas cher[/url] produits qui attirent plus de consommateurs, puisque leur [url=http://park10.wakwak.com/~hahha/cgi-bin/simajiri.cgi]hollister Dassault dément viv[/url] accès est facilité.
Quant au secteur de l'énergie renouvelable, il atteint des chiffres record : les ventes d'ampoules [url=http://tsuruo.jp/cgi-def/admin/C-002/after/visit/main.pl?PAGE_NUM=1]giuseppe zanotti pas cher Lan[/url] à basse consommation ont explosé en 2010, à 83 millions d'ampoules vendues contre 62 millions en 2008, gr?ce à l'interdiction progressive des lampes à incandescence.
publiera "les chiffres de la responsable en 2010", le 31 mars, la veille de l'ouverture de la semaine du en France, [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] le 1er avril.
Pour Mme Dubuisson-Quellier, [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] la consommation responsable restera un marché de niche : "Ces produits ne sont pas accessibles à [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] tous financièrement, ce mode de consommation reste socialement segmentant [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] : il ne s'adresse qu'aux classes moyennes et supérieures."
Mais la consommation locale nécessite [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] de se déplacer et de prévoir ses achats à plus long terme. Une limite qui "favorise des circuits courts de distribution moins impliquants", explique Mme Dubuisson-Quellier, comme la grande [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] distribution, qui multiplie les slogans du type "Fabriqué près de chez vous", ou "Des produits qui garantissent l' dans nos régions".
Plus récente, la demande de produits locaux séduit de plus en plus de foyers : en 2010, 50 000 étaient adhérents d'associations pour le maintien de l'agriculture paysanne (AMAP), dont le chiffre d'affaires a atteint 36 millions d'euros en 2010, selon le rapport.
Essoufflement du secteur, ou simple effet de la crise économique ?

La consommation responsable s'étend au-delà des produits alimentaires : le rapport pointe aussi l'essor de l'écotourisme. Près de 50 000 voyageurs s'y sont convertis en 2010, portant le nombre total d'écotouristes à 250 000.
Ce rapport, que Le Monde s'est procuré en exclusivité, indique que la vente de produits dits "responsables" (biologiques, équitables, durables, etc.) est en hausse dans tous les secteurs.
Pourtant, un sondage CSA publié par l'Agence bio, qui gère le label AB (agriculture biologique), indique une légère baisse de l'engouement des consommateurs : 43 % des Fran?ais déclarent consommé du bio au moins une fois par mois en 2010, contre 46 % en 2009.