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"La mobilité peut aussi de [url=http://aa414234.idc.linkedo.com/guestbook.asp]jordan Lon[/url] décompter un poste des effectifs si par exemple un salarié quitte un poste de Douai, qui sera supprimé, pour un poste existant à Maubeuge", détaille Stéphane Béal du cabinet Fidal. "La mobilité peut être qualitative également, d'une qualification vers une autre. Dans tous les cas, s'il faut un avenant au contrat de travail, la GPEC offre un cadre qui évite de par un plan ."
D?TACHEMENTS INTERSITES ET FIN DE CARRI?RE AM?NAG?E
Cet acronyme désigne à l'origine des plans qui "ont pour objectif de mieux les effets sur l'emploi des mutations économiques, technologiques, sociales et démographiques", d'après la définition du ministère de l'emploi.
L'avenant insiste enfin sur la mobilité externe, via la création ou [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] la reprise d'entreprise, laquelle a été à nouveau encouragée par une nouvelle revalorisation. Idem pour les départs à la retraite pour les salariés occupant des métiers sensibles, si le départ a lieu au 1er jour de [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] l'acquisition des droits à taux plein.
Mardi, le groupe a annoncé que la GPEC était prolongée jusqu'en 2016 et le DACS étendu à tous les collaborateurs, quel que soit leur statut et sans critère de pénibilité. En somme, une préretraite pour tous. Un chiffre à aux départs naturels – à la retraite essentiellement, les démissions et les licenciements pour faute étant statistiquement moins nombreux sur ce secteur – des 5 700 autres postes concernés.
Mais ce chiffre contraste violemment avec les embauches annoncées par la direction (760). "Il est un peu trop facile d' ces embauches quand on n'a [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] déjà pas rempli les conditions de l'accord de la GPEC", s'insurge en outre , délégué syndical FO. La GPEC 2011-2014 prévoyait des embauches dans l'ingénierie tertiaire de 1 600 [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] personnes, "pour l'instant nous n'avons que 600 embauches", assène M. Smolnik.
En juin dernier, nouveau coup d'accélérateur, l'accord GPEC , "permettant d' certaines mesures existantes à l'évolution du contexte réglementaire et économique [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] actuel". Il met l'accent sur la mobilité, notamment de Douai vers les sites de Maubeuge ou STA Ruitz, et de Sandouville vers le site de Cléon.
Dans le cas de Renault, signé en février 2011 a mis en place un "observatoire des métiers" qui a permis d' les "métiers sensibles" (ceux qui disparaissent, essentiellement dans les usines). L'accord a aussi lancé de fortes incitations à "la mobilité professionnelle en interne (mobilité géographique, prêts intersites, temps partiels de fin de carrière...) et en externe [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler[/url] (congés sabbatiques, création d'entreprise, [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] prêts de main d'?uvre à une autre entreprise de la métallurgie, mutations concertées...), et d'aménagement de fin de carrière".
Certes, il correspond à une période d'embauche importante dans les années 1950 et 1960. "Au début des années 1990, Renault avait déjà sollicité les pouvoirs publics afin [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] qu'ils l'aident à rééquilibrer sa pyramide des ?ges", note , professeur à Polytechnique. Un cas courant dans le secteur . Selon un , plus d'un quart des employés de PSA a près de 60 ans.
Concrètement, depuis la loi de cohésion sociale de 2005, cette négociation [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] s'impose tous les trois ans aux et groupes d'au moins 300 salariés et porte sur les mesures d'accompagnement en matière de formation, de validation des acquis de l'expérience, de bilan de compétences ainsi que d'accompagnement de la mobilité des salariés.
En 2011, 454 salariés de Renault ont justement opté pour une fin de carrière aménagée, via une DACS (Dispense d'activité des spécifiques), dispositif qui prévoit une suspension de contrat rémunérée à 75 % du salaire pour les collaborateurs qui pourraient leurs droits à la retraite dans les trois ans. "Dans ce cas, le salarié 'existe' encore puisqu'il a une fiche de paie [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin pas cher[/url] et fait partie, au sens juridique, des effectifs mais son poste peut être considéré comme supprimé des effectifs productifs", explique Stéphane Béal du cabinet Fidal.
14 % DU GROUPE ? LA RETRAITE ?
Or, si 5 700 départs naturels sont prévus d'ici à 2016, cela signifie qu'environ 10 % de la masse salariale du constructeur partira à la retraite dans trois ans. En ajoutant 1 800 possibles "préretraites" ou "fins de carrière aménagées" (si les salariés n'acceptaient pas la mobilité), cela signifierait que jusqu'à 14 % des salariés de Renault seraient concernés par la limite d'?ge. Le chiffre interroge.
Si Renault 7 500 suppressions de postes sur la France, le constructeur a précisé que, sur ce total, 1 800 personnes pourraient être concernées par une prolongation et [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] un renforcement des dispositifs GPEC (gestion prévisionnelle de l' et des compétences).

Par ailleurs, 103 salariés ont choisi une "période de mobilité" (accueil momentané [url=http://gh.jlbtc.edu.cn/E_GuestBook.asp]hollister[/url] [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] dans une autre entreprise et réintégration possible chez Renault), 15 un temps partiel fin de [url=http://www.meekrei.com/cgi-bin/aska/aska.cgi/?c=search&/./aska.cgi?mode=resmsg&no=585]hollister sale Pieta un Li[/url] carrière. De plus, précise le constructeur, les détachements intersites ont fortement augmenté pour 1 195 personnes en moyenne mensuelle dans le groupe en France.